Les conseils de trois grands entrepreneurs français pour oser faire un métier qui a du sens !

Vous avez en tête un métier qui a du sens pour vous et qui vous fait vibrer, mais vous ne pensez pas que c’est possible de vivre grâce à lui ? Ou alors, vous ne savez pas comment faire pour y accéder ? Ou bien, vous êtes en chemin, mais cela peut prendre beaucoup plus de temps que prévu ? Si ces questions vous font écho, alors lisez cet article au plus vite !

En étudiant le parcours de trois entrepreneurs français, vous commencerez à croire qu’exercer un travail qui vous plaît est possible. Vous découvrirez des idées afin de savoir comment faire pour tendre vers ce travail qui vous inspire. Enfin, vous verrez comment booster votre changement d’emploi ! Vous êtes prêts ? Alors, c’est parti !

 

1. Faire un métier qui a du sens, c’est possible !

En septembre 2018, je suis intervenu comme conférencier à la première édition de la Journée de l’Audace Corse sur le fait d’oser faire un travail qui vous fait vibrer. Lors de cet événement, j’ai eu la chance de rencontre Michel Poulaert, un conférencier professionnel qui m’a partagé comment il est parvenu à faire un métier qui a du sens pour lui. Laissez-moi vous en dire plus.

Michel a décidé de se lancer en 2009 dans la conférence. Au début, il a reçu plein de critiques, de railleries et de moqueries. Voilà ce qu’on lui disait : “on ne peut pas en faire un métier”, “et toi, tu penses pouvoir vivre de ce métier ?”, “tu fais n’importe quoi !”, “t’as une excellente situation professionnelle, pourquoi tu fais ça ?”, etc. Pourtant, Michel s’est accroché à son rêve et a fait preuve de détermination.

Le résultat ? Dix ans plus tard, il fait partie du top 20 des conférenciers les plus demandés en France et il a monté sa propre école pour former au métier de conférencier professionnel. Il se comporte comme la personne qu’il aurait aimé rencontrer il y a dix ans quand il a décidé de se lancer dans ce métier innovant en France à l’époque.

 

Pour Michel, l’échec, c’est abandonner et céder à la pression de la médiocrité ou de l’incrédulité des autres, mais votre rêve, ce n’est pas le leur, c’est le vôtre. Lancez-vous, agissez, tombez et relevez-vous jusqu’à votre réussite. J’aime énormément Michel Poulaert, car il nous invite à savoir ne pas écouter les autres et à croire que c’est possible même si on part de très loin.

Michel s’est formé en parallèle de son métier. Puis, il a commencé à donner des conférences et à se faire rémunérer. Et savez-vous quand il a décidé de quitter son travail salarié pour se lancer ? Tout simplement quand il avait trop de demandes de conférences pour le nombre de congés dont il disposait. Comme quoi, les transitions peuvent se faire en douceur !

 

2. Une transition d’un métier à l’autre, ça se prépare !

Dans ce paragraphe, je vais vous parler d’un spécialiste de la relation à l’argent que j’ai interviewé et qui s’appelle Christian Junod. Dans cette interview, Christian Junod partage que quand il était plus jeune, il a travaillé comme conseiller en placements financiers pour une banque suisse. Sauf qu’il n’était pas du tout épanoui.

 

En parallèle, il a commencé à se former au développement personnel. Puis il a commencé à organiser les ateliers sur la relation à l’argent d’un dénommé Peter Koenig jusqu’au jour où ce dernier lui dise : « Maintenant, je ne me déplace plus. À ton tour d’animer ces ateliers. » C’est ce qu’il a fait et il a adoré.

 

Entre-temps, la crise des subprimes est arrivée et Christian Junod a été licencié. Il a donc décidé de continuer dans cette voie qui lui correspondait. Que retenir de cette histoire ? Premièrement, qu’une transition professionnelle ça se prépare. De fait, Christian Junod s’est formé au développement personnel pendant dix ans. Puis, il a organisé durant deux ans des ateliers pour un spécialiste (Peter Koenig) avant de prendre sa succession.

 

D’autre part, il y a une autre leçon que nous enseigne Christian Junod dans cette interview. Il s’agit du fait que l’argent est avant tout un moyen et non un obstacle. Pour lui, si nous avons peur de changer de métier à cause d’un risque financier, c’est avant tout parce que notre rapport à l’argent n’est pas OK. En effet, nous pouvons par exemple négocier une rupture conventionnelle avant de tester une idée de projet pendant deux ou trois ans.

Je vais vous donner mon exemple personnel. J’ai commencé à me former au développement personnel et à la recherche d’emploi en 2015. J’ai commencé à donner des cours à l’IUT d’Aix-en-Provence en 2016. Puis en 2017, j’ai créé mon entreprise pour faire de l’accompagnement individuel à la recherche d’emploi. Ce n’est qu’en 2018, après avoir quitté mon emploi d’ingénieur et négocié mon départ, que je me suis lancé à temps sur cette activité d’accompagnement à la recherche d’emploi. En effet, je dois avouer à présent que c’est un métier qui a du sens pour moi ! Il vaut donc largement la peine que je m’investisse pleinement à son accomplissement. 

 

3. Pour maximiser vos chances, sortez de chez vous !

Dans cette troisième partie, je vais vous parler de Yannick Alain. C’est un entrepreneur français que j’ai également eu la chance d’interviewer dans le cadre de mon activité actuelle. La citation qui m’a le plus marqué chez Yannick Alain, c’est la suivante : “Qui s’isole s’étiole et qui sort s’en sort. » Et je vais vous livrer deux conseils donnés par Yannick Alain pour maximiser vos chances de pouvoir exercer un métier qui a du sens pour vous : ne vous isolez pas et réseautez !

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